Rue paradis

 

 

Ce n’est pas vraiment une histoire de fantôme.

C’est la réalité des  pauvre gens. Les  pauvres dans la dépression sociale ne peuvent pas parler et  se tuent chaque jour .

Les riches ne parlent que pour leurs fils et filles , donc les pauvre sont absents, transparents et invisibles, comme des objets vivants ou morts.

Ma référence ici est L’Empire de la passion.et les films de David Lynch.

Dans le soir mystique, un  fantôme qui revient .

C’est une histoire qui est d’un autre côté  de La grande bouffe.

Une femme qui a très faim et  supporte pas le grand sac de shopping.. Un homme qui revient et raconte l’histoire de sa mort dans une chute.

La musique est  l’allegro assa de Tartini (Concerto pour violon en Ré mineur, les paroles entre les anges).

Albert Camus à René Char : « On parle de la douleur de vivre. Mais ce n’est pas vrai, c’est la douleur de ne pas vivre qu’il faut dire. »