Le Requiem

Le Requiem

Susan Sontag croit que “ une photo témoigne le pass du temps en morcelant précisément un moment et en le coagulant.” Un moment peut être suspendu dans un photo malgré du fil du temps. Donc, les gens nostalgiques peuvent utiliser une série de photo pour restaurer et reconstruire sa vie.

Le contexte du projet
Mon université se situé au nord de la Chine, la température minimale en hiver est vingt degrés au-dessous du zéro. Les camarades venus de tous les coins du pays tiennent leurs amour avec dynamisme et passion, alors que parfois j’aie le sentiment que ce genre d’amour est si court ainsi que fragile comme la glace sur les toits sous le soleil. En face du destin personnel, le choix de l’avenir, même si la mission familiale, l’amour se casse facilement.

La narration de l’image. La narration
1 Le caractère spaciale et temporelle de l’image
Quand l’on se rappelle du moment passé, l’impression sera inévitablement un peu vague, alors qu’une photo peut faire reproduire la scène, chaque détail apparaît distinctement au regard. Ce que la photo garde est “le moment à jamais”, il présente le passé et montre l’avenir toujours par “le moment présent”. Parmi tous les formes des images, seulement la photographie enregistre le moment où elle s’est fait. Enfin, la photographie est une tranche de l’espace et le temps, elle est une unité de ces deux éléments qui se manifeste sous la forme spacial.
2 Le caractère narratif de l’image
Susan Sontag pense que “une photo n’est qu’un cadre, au fil du temps, son ficelage se défait. Il dérive dans un concept historique d’une vague abstraction, laisse interpréter diversement par les gens.” Il reflète la réaction du spectateur en profitant de l’<> ou l’<>, il reconstruit le profil du fait( débit du temps) en formant une série d’image composant des autres images. Le premier s’agit principalement de découvrir ou dessiner le moment où couve le plus, le dernier vise à faire sentir certain logique intérieur, relation temporelle ou lien cacusal dans les séries d’image.
3 La narration circulaire et le “retrait” du temps
Dans une narration circulaire, non seulement un ordre chronologique est révélé par l’image, mais aussi que les spectateur puissent interpréter les images par un règle causal chronologique. Autrement dit, la logique chronologique de ces oeuvres (ou même son “caractère narratif”) retire en arrière de l’image, qui compte sur la reconstruction du spactateur. Regarde l’image, on trouve que ce modèle narratif peut-être comforme à un autre loi–la loi de l’orientation spaciale, et à une autre logique–la logique spaciale.

L’Image
Sous forme tripartite, un homme et une femme réside séparément à gauche et à droite, au milieu, c’est un objet. Forme de pellicule noir et blanc, le guitar de ce garçon à gauche, est un symbole d’un rythème, une expression de jeunesse. Il couvre les oreilles de ses mains, pour manifester son attitude–refus, refuser ce rythème ainsi que leur amour. Les lunettes de soleil de ce garçon, est un symbole de sa double monde complexe, le monde devant les lunettes et celui en arrière. Dans l’image correspondante de la fille, la pomme coupé symbolise la tentative du fruit défendu, alors que celui complet signifie son envie de revenir au passé. Le doigt sur les lèvres de la fille est un symbole du silence, en même temps, elle paraît parler avec un spectateur non existe, ou peut-être avec le garçon. Dans l’image au milieu, la fleur fanée signifie la mort de leur jeune amour, l”entoilage de la chaise,qui est un dessin traditionnel chinois du grue–un symbole de longivité en Chine, symbolise la partie conservatrice de l’idéologie traditionnelle chinoise. Le forme tripartite est issue du triptyque de Francis Bacon.

Artiste de référence: HISAJI HARA

Le pratique de la technologie
Révélation de wet plate collodion, placer du sensibilisateur sur la plaque de verre transparente, afin d’obtenir un développement d’effets spéciaux, lui donne un effet à la fois du pellicule et de la lithograhie delicate.